CRITIQUE CONSTRUCTIVE DE FILM

Titre Fight club
note 0/20
commentaire De la merde en plaque. Film psychologique sans action mettant en scène des névrosés. A gerber. Remboursez.
histoire Un employé d'assurance insomniaque maso recrute des tarés pour des bastons avortées, baise une névrosée qui prend des médicaments psychotropes, et torture sa conscience jusqu'à la fin au lieu de tirer sur tout ce qui bouge, avec en toile de fond la puante morale américaine...
Deux heures de navrance soporifique.
Comment changer le scenario pour que le film soit moins mauvais Tu reprends le thème principal (destruction des banques), mais tu l'amplifies légèrement : destruction des banques _avec_ tout le personnel et les proprios et leurs amis politiques dedans, avec dans l'ordre : fermeture hermétique de toutes les issues, gazage hyper-massif, brûlage de toute matière organique, et enfin, seulement alors, destruction des immeubles eux-mêmes.
Pour le déroulement : au lieu de cet imbécile d'employé d'assurance insomniaque, tu prends un colonel de la légion qui vient de se faire virer pour cruauté extrême.
Le fight-club : dès le début, le colonel envahit un club de combat secret et égorge tous ses membres. Ensuite, il ramène tous ses potes de la légion et crèe une légion parallèle avec ratonades quotidiennes au siège du parti socialiste (à la fin du film, la France est nettoyée, d'ailleurs).
Pause-pipi : au lieu de nous montrer une paire de couilles poilues subliminale (cf scène finale de cette merde infâme), l'interlude consiste en une virée à Latché, rafle de tous ses habitants, torturés à mort. Le village et ensuite brûlé et la tombe de mitterrand pulvérisée avec trois tonnes de dynamite (la pause-pipi, bien sûr, a eu lieu dessus).
La fille : on prend la même immonde connasse névrosée, mais on change un peu son traitement : tous ses orifices cousus, pendue au plafond, elle sera bouffée par les pitbulls affamés du colonel. Les pitbulls seront dressés pour prendre leur temps.
Le colonel : ne se pose jamais de questions morales stupides. Quand il voit les enfants à la fin, il leur lance une grenade.

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