L'insuline, et son copain le glucagon...

Insuline : stimule le stockage des glucides sous forme de graisse dans les cellules adipeuses, ainsi que leur multiplication. Production activée par le degré de glucose dans le sang. L'insuline est nécessaire pour permettre au corps humain de stocker de l'énergie, mais en trop grande quantité, phénomène d'insensibilisation progressive, provoquant une production plus importante etc.

Glucagon : stimule le déstockage de graisses sous forme de kétones, utilisés au moins aussi efficacement que le glucose par le corps comme source d'énergie. Production activée par une baisse du taux de glucose dans le sang, etc. Le glucagon et l'insuline sont supposés être en équilibre permanent. Cet équilibre fonctionne très bien chez l'enfant, ainsi que chez les personnes n'ayant pas développé d'insensibilité à l'insuline.

Ou comment votre diététicien habituel ne vous rend pas service...

Sources archéologiques et médicales.

Origine: prédisposition génétique + mauvaises habitudes alimentaires datant de l'invention de l'Agriculture.

Circonstances aggravantes: transmission des mauvaises habitudes alimentaires pendant la période de croissance, déclenchant le syndrôme d'insensibilité à l'insuline (cercle vicieux) + disponibilité permanente et aisée de la nourriture, peu propice à la production de glucagon. Pas de rapport avec l'activité physique.

Symptômes: recrudescence des conditions diabétiques (type II) ou prédiabétiques, causant obésité, maladies cardiovasculaires et autres joyeusetés.

Vérification: faites mesurer votre taux d'insuline (plusieurs tests complémentaires) a court et long terme et constatez que vous en produisez plus qu'il n'est généralement nécessaire.

Traitement classique: diète à la con qui affame, injections d'insuline (!), etc. Résultats: nuls, voire négatifs.

Traitement efficace: minimum 7 semaines en évitant au maximum les glucides dans l'alimentation pour amorcer la re-sensibilisation à l'insuline. Eviter de manger le soir pour favoriser la production de glucagon pendant la nuit. Protides et lipides à volonté, au moins on n'a pas faim. Niveau d'exercice inchangé, puisque ça n'a pas d'influence.

Poursuite du traitement: éviter autant que possible les nourritures à base de grain, farine, sucres, etc, dont la conséquence est invariablement une poussée inutile d'insuline et un plus grand apétit.

Je mettrai à jour plus tard, pour le moment pas le temps, et je n'ai pas fini de rassembler la documentation derrière.