Le jour de la mer

C'est bien connu : on invente toujours des motifs les plus futiles pour justifier la plus importante des causes : les jours de congé...

Faudrait p'tet penser a faire la lessive...

Ce matin-là, comme presque tous les matins, je laisse le Soleil Levant me réveiller (après tout, je suis plutôt bien situé pour cela).

Graaaaoorrr, j'ai faim !

Même si aujourd'hui je ne suis pas obligé d'aller au boulot, certains insistent pour que je me lève tout de même sans attendre.

Ca vient ?

Bien qu'il fasse déjà une chaleur... appropriée pour la saison, cette bestiole en rajoute, rien que pour me donner chaud.

Faudra penser a la liaison satellite, un de ces quatre...

Rien à battre, je vais me prélasser en lisant mon courrier...

On commence a etouffer legerement...

Dehors, les cigales s'essayent à une reconstitution savante de la Provence, tandis que les mauvaises herbes prospèrent...

Attend un peu l'automne, toi, on va te soigner...

Celle-ci a encore pris une bonne dizaine de centimètres, et fait le bonheur d'une araignée...

Dans la jungle provencale...

Le temps est idéal pour le monde végétal, c'est carrément la jungle, à présent.

Le jour de la mer

En plein mois de juillet, quel meilleur motif pour déclarer un jour férié que de dire que c'est le "jour de la mer" ?

C'est mieux que le Zyklon, ca.

En pleine saison des moustiques, il vaut mieux être armé comme il faut...

Avec ca, pas de risque d'attrapper le typhus !

Ces insectes aiment tellement ce parfum qu'ils en perdent tout apétit...

Fear the almighty bugblatter !

Les grillages fins ajoutent aussi à la protection, témoin ce vestige d'une lutte acharnée contre un cafard géant... Qui n'est pas passé !

la pente...

Pour fêter ce jour férié, on va aller au boulot, tiens... Allons à la gare...

zouuuuu !

En plus, on est en plein dans la saison des fêtes d'été...

bom bom bom !

Chaque quartier y va de la sienne...

Ima dokoooo ?

Oups, pardon, mam'zelle !

La gare

Bon, on va se garer pour prendre le train, si on trouve une place...

Pousse ta !

Bah, la place, c'est comme les chieurs en France : quand y en a plus, y en a encore !