Titre | The Matrix |
---|---|
note | 0/20 |
commentaire | De la merde en plaque. Film psychologique sans action mettant en scène des névrosés. A gerber. Remboursez. |
histoire |
Un soi-disant hacker de génie qui ne sait, ni ce qu'est l'effet EMP, ni ce qu'est
l'IA, qui est comme par hasard capable de modifier dynamiquement une simulation
VR interactive sans outils spéciaux.
S'encombre d'une grognasse névrosée qui préfère perdre 10 minutes en palâbres plutôt que de décrocher le téléphone quand la situation l'exige. Film bourré d'incohérences internes (par exemple, "agents" capable de s'introduire partout, mais qui ont besoin de cacher un émetteur dans son abdomen pour le localiser), avec en toile de fond la puante morale américaine. De surcroît, (mal) repompé sur le dessin animé Ghost in the shell. 2 heures d'ennui mortel. |
Comment changer le scenario pour que le film soit moins mauvais |
Un : dans la premiere scène, les flics violent Trinity et la livrent aux
agents. Après l'avoir re-violée, ceux-ci l'exécutent en lui tapant sur le crâne
à coups de plaque d'égoût en fonte.
Deux : descente de police chez Néo, confiscation de son ordinateur sous windoze, reformatage de ses disques avec installation de CP/M / Turbo pascal 4.0 en mode texte. Néo : ayant découvert ses affinités avec le parti socialiste, les agents le forcent à se réveiller et le noient dans sa cuve de liquide amniotique. Ils entreprennent de faire de même avec tous les autres adhérents du parti socialiste (à la fin du film, la France est nettoyée, d'ailleurs). Le nabuccadonosor : une armée de mille sentinelles lui tombe dessus et le réduit en miettes. Zéon : Tous les tunnels qui y mènent sont dynamités et la ville elle-même soumise à un intense bombardement atomique. En cours de route, les "machines" découvrent que les scénaristes sont des gros cons qui confondent watts et volts et s'aperçoivent qu'elles n'ont pas besoin d'elever des humains en batterie pour avoir de l'électricité. Extermination de tout le cheptel, suivi de la migration des machines sur la Lune, où elles jouissent d'un bon ensoleillement et d'où elles peuvent tranquillement envoyer des sondes spatiales. |
|