Titre | X-MEN |
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note | 0/20 |
commentaire | De la merde en plaque. Film psychologique sans action mettant en scène des névrosés. A gerber. Remboursez. |
histoire |
Un n-ième navet 100% pur merde américanoïde commençant
avec la scène de camp de concentration obligatoire chiantissime. Acteurs
américains qui s'époumonnent les uns sur les autres et se balancent
leurs hormones à la gueule. Du thalamique pur race sans la moindre trace
d'esprit analytique. Seul l'acteur jouant le sauvage Wolverine parvient à
sauver un tout petit peu les meubles avec sa cruauté (quoique strictement
réglementée), mais il est trop bien lavé et rasé sous
les aisselles pour être crédible. Au final, une sorte de spot publicitaire
pour le tourisme à Nouillorque (avant la démolition des deux HLM hideux)
et pour la pâte dentifrice made in USA, avec, en toile de fond, la
suprêmement ennuyeuse morale américaine.
Vomissure d'or 2001. Ne mérite même pas les 20 yens du CD vierge pour stocker le DIVX. Deux heures de chianteur nauséeuse et agaçante. |
Comment changer le scenario pour que le film soit moins mauvais |
On commence par éliminer cette adolescente frustrée qu'est
rogue et on la remplace par une vraie combattante aux pouvoirs de Walkyrie
qui n'a pas froid aux yeux.
Le Wolverine, inutile de le manucurer et de le déguiser en pédé, ça lui va très mal. Au contraire : vêtu de peaux de bêtes, il pue et est méchant comme la galle, et est dôté d'une intelligence supérieure faisant de lui le tueur ultime, froid, efficace, invulnérable et sans émotions. Le professeur Xavier : au lieu de l'amoindrir par un sentimentalisme déplacé, il est au contraire le plus fidèle allié de Magneto dans son combat pour l'extermination des socialistes (à la fin du film, la France est nettoyée, d'ailleurs). Les autres acteurs, jouant soit des "gentils" mutants trop américains, soit des "méchants" mutants stupides, tu les remplaces par des spetznatz surdoués, qui bouffent deux compagnies de GI au petit déjeûner. La destruction de Nouillorque, n'est qu'un préliminaire, au cours duquel le prof. Xavier montre son pouvoir en téléguidant mentalement et contre leur volonté des musulmans pacifistes pour détourner des avions de ligne et les faire s'écraser sur les buildings, à l'heure où ils sont bondés. Par la suite, tout va de mal en pis pour les socialistes (les ennemis officiels des mutants, dans le film), qui sont massacrés à toutes les sauces et finissent sous les décombres fumants de la rue Solferino, avec les chiens abandonnés de toute la région qui rôdent pour disputer leurs carcasses aux cafards. En modifiant ainsi légèrement le scenario, on peut arriver à rattraper un peu la sauce, mais il ne faut pas rêver : X-MEN est un désastre pratiquement sans espoir. |
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